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La pauvreté grandissante au Québec et au Canada
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Le coeur est à Gauche, le profit est à Droite.


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PAUVRETE.ORG est un nouvel espace qui traite du problème de la pauvreté croissante au Canada. Vous y trouverez différents articles, données et statistiques traitant de ce fléau qui rapidement mais silencieusement envahit nos vies et celle de nos enfants.
La Pauvreté au Canada est une réalité et non une fiction de "Statistiques Canada", l'outil de désinformation par excellence.


Coût de la guerre en Irak
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ACTION DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ


Augmentation de la pauvreté des enfants au Canada : plus d'un million d'enfants sont toujours pauvres

 La croissance économique, conjuguée à des investissements sociaux, a eu pour effet de faire chuter la pauvreté des enfants à chaque année depuis 1996. En 2001, le taux de pauvreté infantile de 14,9 % correspondait à celui de 1989, sommet de la dernière relance économique. Toutefois, l'année 2002 marque la fin des progrès du Canada en termes de réduction de la pauvreté infantile. Le contexte économique demeure favorable et pourtant 1 065 000 enfants, soit près d'un enfant sur six au Canada, vivent la pauvreté. En dépit d'une croissance économique persistante, d'une baisse du taux de chômage et d'une création d'emplois sans précédent, le taux de pauvreté des enfants a atteint 15,6 %.

Un tiers des enfants au Canada sont aux prises avec la pauvreté en période de prospérité économique
Les familles à faible revenu toujours aux prises avec la pauvreté. Aucun progrès pour réduire le fossé entre les familles riches et les familles pauvres. L'analyse de la pauvreté des enfants sur un an ne dresse pas un portrait fidèle de l'ampleur et des répercussions du problème. En fait, au cours du boom économique des années 1996 à 2001, 2,1 millions d'enfants ont été aux prises avec la pauvreté durant une année au moins - c'est-à-dire un tiers de tous les enfants au Canada. Tout au long de cette période de croissance économique, 1,5 millions d'enfants, soit un sur quatre, ont vécu la pauvreté durant deux années au moins. Quoique la majorité des enfants vivent en alternance la pauvreté, la réalité veut que plus d'un demi million d'enfants, soit un enfant sur dix au Canada, aient connu la pauvreté durant cette période de prospérité économique.

Les familles à faible revenu toujours aux prises avec la pauvreté
La situation des couples à faible revenu avec enfant s'est améliorée quelque peu depuis 2002, mais leur revenu est demeuré 9 000 $ en moyenne sous le seuil de pauvreté. Et la situation des familles monoparentales dirigées par une femme s'est détériorée si on la compare à l'année précédente. Que ces mères chefs de familles monoparentales travaillent ou non, l'écart entre leur revenu et le seuil de pauvreté s'est creusé. Pour atteindre le seuil de pauvreté,il faudrait ajouter 8 800 $ en moyenne à leur revenu.

Aucun progrès pour réduire le fossé entre les familles riches et les familles pauvres Les inégalités profondes entre les familles riches et les familles pauvres se sont consolidées au cours du boom économique. En 2002, le revenu des 10 % de familles les plus riches au Canada était plus de onze fois supérieur au revenu des 10 % de familles les plus pauvres. En termes de monnaie réelle, de 1996 à 2002, le fossé entre les familles les plus riches et les familles les plus pauvres s'est creusé. En 2002, l'écart entre le revenu moyen des 10 % de familles avec enfant les plus riches et celui des 10 % de familles avec enfant les plus pauvres était de 171 500 $.


Source/auteur : campaign2000
Mis en ligne le vendredi 10 décembre 2004, par hella


Seuil de pauvreté d'une personne seule: 10 800 $

Tommy Chouinard , Kathleen Lévesque
Édition du lundi 10 novembre 2003

Québec entend réduire de 200 000 d'ici cinq ans le nombre de ménages qui vivent sous le seuil de la pauvreté, a appris Le Devoir en obtenant copie du plan d'action gouvernemental en matière de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale.

Or Québec a défini lui-même le niveau de ce seuil. De manière transitoire, il sera fixé à 10 800 $ pour une personne seule, 15 500 $ pour un couple sans enfant et une personne chef de famille monoparentale avec un enfant, et 18 200 $ pour une personne chef de famille monoparentale avec deux enfants et un couple avec un enfant. Dans le cas d'une personne chef de famille monoparentale avec trois enfants ou plus comme dans celui d'un couple avec deux enfants, le seuil est de 22 000 $. Pour ce qui est des familles de plus de trois enfants, il s'élève à 24 500 $.

Ces seuils ont été choisis à partir de la Mesure de faible revenu (MFR) de Statistique Canada et la Mesure du panier à la consommation (MPC) du ministère du Développement des ressources humaines du Canada. En fait, le seuil retenu par Québec est un peu plus bas que la MPC fédérale, une nouvelle mesure qui a donné ses premiers résultats en mai dernier. Selon cet indice, quelque 11,9 % des Québécois -- environ 890 000 personnes -- n'ont pas l'argent nécessaire pour se nourrir, se loger et se vêtir. Il s'agit du deuxième meilleur bilan au pays.

L'Institut de la statistique du Québec et le Comité consultatif sur la pauvreté, qui sera créé avec l'adoption du plan d'action et où siégeront des représentants des groupes sociaux, devront déterminer un nouveau seuil de pauvreté pour l'avenir et mesurer les progrès réalisés.

La loi 112 prévoyait la création d'un Observatoire de la pauvreté afin de procéder à cette tâche. C'est lui qui devait, selon la loi, «élaborer une série d'indicateurs devant servir à mesurer la pauvreté et l'exclusion sociale, les inégalités sociales et économiques, dont les écarts de revenus, ainsi que les autres déterminants de la pauvreté». Le gouvernement a finalement décidé de faire une croix sur cet observatoire.

L'objectif principal de la Loi visant à lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale est d'«amener progressivement le Québec, d'ici dix ans, au nombre des nations industrialisées comptant le moins de personnes pauvres». Afin d'atteindre cet objectif, Québec souhaite également ramener le taux de chômage de longue durée au Québec à celui de la moyenne canadienne.

Pastorale Sociale Côte-des-Neiges Recommandé


L'actualité non censurée:

Les Éditions Cybérie

D'abord Solidaires !

Seuil de pauvreté pour personne seule: 16 000$ (stat. Can.)

mais le gouvernement en offre moins que 7000$/année


Articles:


La pauvreté en héritage



« Naître égaux, on repassera. Ils n'ont pas autant de chances qu'avec la famille qui a toutes les possibilités. »
- Pauline Locas, Carrefour familial, Hochelaga-Maisonneuve

« En tant que nation, affirmons aujourd'hui qu'avant le début du 20e siècle, la pauvreté des enfants sera une relique du passé »
- Ed Broadbent, alors chef du Nouveau Parti démocrate, lors de la résolution antipauvreté déposée aux Communes, en novembre 1989

Il y a 11 ans, les députés de la Chambre des communes avaient unanimement adopté la résolution présentée par Ed Broadbent dans le but d'éliminer la pauvreté chez les enfants d'ici l'an 2000. Voeux pieux ? À peine 14 mois plus tard, seulement une dizaine de députés assistait aux comités sur la pauvreté. Les élus se sont par ailleurs révélés incapables de tenir leur promesse. À cette époque, 15,3 % des enfants étaient pauvres. Aujourd'hui, certaines enquêtes démontrent qu'il y en a 50 % de plus. Sur les quelque 1,5 million d'enfants pauvres au pays, 250 000 dépendent de la charité pour manger à leur faim.

Le Canada fait piètre figure au chapitre de la pauvreté des enfants. Selon une étude de l'UNICEF, sur les 23 pays les plus riches, le pays se classe au 17e rang.

« Ça fait peur de réaliser que tu vis dans un pays, dans une province ou une ville ou toi, t'acceptes que l'autre à côté mange pas. »
- Richard Boissonneault, ancien prestataire de l'aide sociale

Quelques chiffres concernant les enfants pauvres:
- 1 enfant sur 2 a une santé fragile
- 1 enfant sur 2 vit avec un fumeur
- 1 enfant sur 4 vit avec un parent dépressif
- 1 enfant sur 3 habite un logement malsain
- 2 enfants sur 5 accusent un retard de développement du langage
- il y a 3 fois plus de délinquance parmi les enfants pauvres

 Derrière ces statistiques inquiétantes, il y a souvent de véritables souffrances, que les groupes communautaires tentent d'apaiser, avec des ressources financières souvent limitées. Retards de développement, problèmes respiratoires et santé fragile, séjours en familles d'accueil, logement insalubre, décrochage scolaire, problèmes de santé mentale des parents, stress, désespoir, abus sexuels, violence verbale ou physique, autant de situations auxquelles sont davantage confrontés les enfants pauvres que les autres.

Au Québec, le nombre d'enfants dont les parents dépendent de l'aide sociale a augmenté de 50 % au cours des années 1990.

« J'aimerais mieux travailler au salaire minimum que d'être sur le bien-être social. Le bien-être social, c'est pas une vie »
- Benoît, 17 ans, dont la mère est bénéficiaire de l'aide sociale

Zone libre s'immisce dans un monde sur lequel on préfère souvent fermer les yeux.

Un reportage de la journaliste Madeleine Roy et de la réalisatrice Nicole Tremblay. Images : Sylvain Castonguay, Charles Dumouchel et Normand Latour; son : Claude Beauchemin et Luc Chartrand; montage : André Roch.

Reportage


Hyperliens et numéros de téléphone

Pour obtenir ou offrir de l'aide:

Assistance aux enfants en difficulté
1600, rue Aylwin Montréal,
téléphone: (514) 528-8488
personnes contact : Gilles Julien, pédiatre, et Claudette Everitt, infirmière

La Maisonnette des parents
6623, rue Saint-Dominique Montréal,
téléphone: (514) 272-7507
personnes contact : Soeur Madeleine Gagnon

Le Carrefour familial Hochelaga
téléphone: (514) 523-9283
3575, rue Lafontaine, Montréal
personne contact : Pauline Locas

Centraide

Information sur la pauvreté:

Statistique Canada
(données sur le revenu des familles)

Conseil canadien de développement social
(groupe d'action sociale sans but lucratif: leur site inclut de nombreux rapports, notamment sur le bien-être de l'enfant en fonction du revenu familial, sur la pauvreté dans les régions métropolitaines du Québec, sur les données de base sur la pauvreté au pays)

Campagne 2000
coalition de 70 organismes qui milite pour éliminer la pauvreté infantile

L'émission Zone libre est diffusée sur les ondes de Radio-Canada le vendredi à 21 h et en reprise à RDI le samedi à 23 h, le dimanche à 13 h et à 20 h ainsi que le lundi à 2 h.


flècheIntroduction:

Le Canada continue de se débattre avec son taux de pauvreté. Cet état, que certains ont désigné comme une honte nationale, influence au premier niveau la capacité actuelle et future du pays à enrayer la criminalité chez les jeunes. La vie sous le seuil de la pauvreté est liée au risque de contact initial et continu avec le système de justice criminelle. En conséquence, toute opportunité réelle de prévention du crime passe par l'amélioration de la situation de ceux qui vivent dans la pauvreté. Les perspectives et les approches canadiennes au problème de la pauvreté ont été critiquées pour la nature et l'étendue de leur contribution à l'entretien de cette problématique pendant des décennies. Faire une différence en ce qui a trait au taux de criminalité des jeunes canadiens implique que ces perspectives et approches soient modifiées dans le but de mieux soutenir ceux qui vivent dans la pauvreté.

  • S'éloigner d'une « définition » de la vraie pauvreté
    Les progrès concertés vers une solution au problème de la pauvreté ont été entravés par ce qui semble être une préoccupation à définir clairement le seuil de la pauvreté. Le besoin de stipuler le seuil monétaire en deçà duquel une famille est ou n'est pas pauvre a consommé des efforts qui auraient été mieux employés à résoudre les vrais problèmes. Fournir à ceux qui ne sont pas en mesure de le faire les ressources, le soutien et l'espoir d'être auto-suffisants et insuffler cette capacité à leurs enfants, voilà ce qui compte; peu importe que la limite soit de $21 000 ou de $30 000 dollars. Voyez comment la pauvreté peut être définie en fonction de critères plus empiriques.
    http://www.ccsd.ca/pr/es_incf.htm.

  • Les mythes et les perceptions erronées au sujet de la pauvreté au Canada
    La tentation de définir le problème de façon simpliste est souvent le résultat de notre besoin de donner un sens à la pauvreté. Les mythes et les perceptions erronées sur lesquels s'appuient nos tentatives d'analyse de cette problématique ont grandement contribué au problème continuel de pauvreté de notre pays. La résolution des problèmes liés à la pauvreté au Canada passe par l'implication d'une multitude de personnes dans plusieurs endroits. Pour s'assurer d'une large coopération de la population canadienne, il est nécessaire de comprendre ces mythes et ces perceptions erronées. Examinez certains des mythes et des perceptions erronées de la pauvreté
    http://www.napo-onap.ca/nf-myth.htm.

  • Les politiques fédérales et provinciales : le présent et l'avenir
    Les politiques fédérales et provinciales récentes ont été mises en place dans le but d'améliorer la situation des familles canadiennes vivant dans la pauvreté. L'augmentation des crédits d'impôt pour les enfants et les alternatives à l'aide sociale fondées sur le travail sont des exemples éminents de politiques conçues pour améliorer la situation financière actuelle et future de certaines familles canadiennes. Les autres facteurs importants de développement du soutien pour ces familles comprennent:

    flècheUne plus grande concentration sur les mesures pour adultes
    Les politiques fédérales et provinciales mettent souvent l'accent sur les enfants canadiens vivant dans la pauvreté. Il y a plusieurs raisons à cela, en particulier le fait que le public canadien est plus susceptible d'être sympathique et de vouloir souscrire à des mesures allouant des deniers publics à des "enfants" qui ne sont pas perçus comme responsables de leur situation. Toutefois, la réalité veut que si nous ne fournissions pas aux parents des situations plus confortables, les perspectives à long termes pour leurs enfants demeureront presque inchangées et ces mêmes enfants deviendront bientôt les adultes qui auront besoin d'une pareille occasion d'améliorer leur situation.

    flècheDes alternatives plus abordables axées sur le travail à long terme
    Suite à l'instauration de mesures alternatives axées sur le travail, des questions ont été soulevées en ce qui a trait à la capacité de faire du « travail » le meilleur intérêt des parents peu scolarisés, de leurs enfants et de l'économie canadienne. Étant donné l'augmentation du niveau de compétences exigé sur le marché du travail d'aujourd'hui, une quantité accrue de ressources pourraient être nécessaires pour fournir des occasions d'emploi à ceux de notre société qui y sont le moins préparés. Par exemple, bien que les programmes de préparation à l'emploi offerts en vertu du programme welfare-to-work en Ontario donnent accès à des compétences de travail de base, la demande décroissante de ces mêmes habiletés sur le marché du travail fait que cette solution n'en est en fait pas une. De la même façon, les coûts associés à la requalification ou à l'accès à l'emploi tels que les garderies ou le transport font de l'entrée sur le marché du travail une solution de moins en moins abordable pour les bénéficiaires de l'aide sociale.

    flècheÉviter les politiques fondées sur la valorisation
    On a émis des réserves quant aux nouvelles politiques fédérales et provinciales fondées sur la valorisation. Toute politique qui minimise la complexité du problème en suggérant que la pauvreté est due au manque de désir ou de capacité à travailler ne fait que créer d'autres perceptions erronées à propos des causes de la pauvreté des canadiens, ce qui ne favorise pas l'implication des citoyens canadiens dans le processus de résolution du problème de la pauvreté au Canada.

Sources documentaires

  • http://www.caledoninst.org/
    Consultez les publications du Caledon Institute of Social Policy sur la pauvreté pour avoir plus d'information sur la nature et l'étendue de ce phénomène au Canada et explorez comment nos politiques affectent les familles à faible revenu du Canada.

  • http://www.ccsd.ca/francais/
    Examinez l'information soumise par le Conseil canadien de développement social. Vous y trouverez des liens vers des recherches, services, publications et documents en-ligne, statistiques et informations sur la pauvreté au Canada.

  • http://cpmcnet.columbia.edu/dept/nccp/beyond.html
    Lisez ce texte du United States' National Center for Children in Poverty dans leur rapport intitulé "Beyond Work: Strategies to Promote the Well-Being of Young Children and Families in the Context of Welfare Reform (November 1999)." Identifiez les moyens par lesquels une société peut oeuvrer pour faire une différence au-delà de remettre les gens au travail.


flècheMon travail en vaut-il la peine?
Texte tiré du site: Mon travail en vaut-il la peine?

Nous avons beaucoup entendu parler de la pauvreté des enfants depuis cinq ans. Le bon sens nous dit que si le nombre des enfants pauvres augmente au Canada, le nombre des familles pauvres doit augmenter également.

De 1993 à 1998, près de 3 enfants canadiens sur 10 ont vécu dans la pauvreté pour au moins une année.

Est-ce frappant? OUI.
Est-ce un changement en mieux? NON.

Selon Statistique Canada, le nombre des femmes seules de moins de 65 ans qui vivaient dans la pauvreté au Canada est passé de 350 000 à 503 000 de 1989 à 1998. C'est une augmentation de 44%.

Le nombre des hommes seuls de moins de 65 ans qui étaient pauvres a diminué de 61% pendant la même période.

Les nombreuses coupes pratiquées par les gouvernements dans les programmes sociaux et les services de santé pendant les années 1990 obligent les personnes à faible revenu à dépenser davantage si elles tombent malades (pour payer les médicaments prescrits ou des fournitures médicales telles qu'un fauteuil roulant, de l'oxygène ou même le plâtre posé sur une fracture du bras).

Actuellement, seule 1 sur 3 personnes qui tombent en chômage a droit à des prestations d'a.-c. Combien de personnes ont sombré dans la pauvreté par suite des coupures pratiquées dans l'a.-c.?

De 1993 à 1997, le revenu après impôt que les familles à faible revenu tirent d'un emploi a diminué de 1 300 $.

La principale raison de la diminution est que les prestations d'assurance-chômage (par famille) ont diminué de 1 100 $ et que les prestations d'aide sociale ont diminué de 500 $.


Revenus tirés de l'aide sociale

L'aide sociale (ou assistance sociale ou prestations de bien-être social) est censée assurer des revenus aux personnes qui ne gagnent pas assez pour subvenir à leurs besoins de base.

En fait, les revenus tirés de l'aide sociale partout au Canada maintiennent des enfants, des familles et des individus dans une profonde pauvreté. Par exemple,

  • Les prestations d'aide sociale d'une personne seule qui n'a pas de handicap sont de 1 341 $ par année à Terre-Neuve.

  • En Ontario, la même personne recevrait 6 882 $ par année, ce qui est le montant le plus élevé des prestations d'aide sociale au Canada.

Comment une personne peut-elle se nourrir, se loger et se vêtir à l'aide de ces montants?

Les personnes ayant des handicaps qui touchent des prestations d'aide sociale reçoivent 8 700 $ par année en moyenne. Le coût des nécessités de la vie semble prohibitif pour une personne qui a un tel revenu.

La situation des familles vivant de l'aide sociale est tout aussi sombre.

Le revenu annuel de la famille monoparentale comprenant un enfant varie de 11 328 $ (Manitoba) à 13 704 $ (Ontario).

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